Patrick Wolff s’est confié dans les colonnes du journal La Montagne pour évoquer la reprise du rugby professionnel dans les semaines à venir.
Ce-dernier a indiqué que des réponses allaient devoir être trouvé à de nombreuses problématiques.
Par exemple, les matches devront-ils se jouer à huis clos lors de la reprise au mois de septembre ? Il rajoute que les tests seront obligatoires pour permettre au rugby de reprendre ses droits. Extrait:
“Le premier le dossier est sa voir si l’on joue à huis clos ou pas?? À huis clos partiel, et si oui, avec quelle jauge?? Est-il possible de redémarrer un peu plus tôt qu’en septembre?? Y a-t-il un risque clair de ne pas redémarrer en septembre?? Ces deux points sont indispensables pour clarifier la situation vis-à-vis des partenaires, des supporters et des instances nationales et internationales. Pour être mené à leur terme ces dossiers doivent être établis en connaissant autant que possible les contraintes sanitaires, notamment pour les acteurs et ce, dès la reprise de l’entraînement. Parmi ces contraintes sanitaires, la pratique des tests va s’avérer décisive. C’est le point capital. La sécurité du public sera essentielle dans le processus. Au moment des prises d’abonnement et de partenariats, ce processus devra être connu et clair et le calendrier sécurisé. Septembre peut nous sembler bien loin… ce n’est vraiment pas le cas.”
Il précise que si l’Etat ne pouvait pas fournir de tests aux clubs de rugby, alors la reprise des entraînements sera retardée ce qui engendrera automatiquement un report du début des compétitions. Extrait:
“Si les tests ne peuvent pas avoir lieu dans des délais raisonnables, le redémarrage des entraînements sera retardé et celui des compétitions aussi, avec un impact financier important que l’État devra compenser.”