Questionné sur son gabarit plutôt fin, le joueur Bordelais indique ne pas avoir peur de souffrir lors des matches de très haut niveau comme en équipe de France.
S’il est conscient de ne pas avoir un gabarit très imposant, il précise avoir d’autres qualités comme la vitesse. Extrait:
“Si j’avais peur, je ne jouerais pas au rugby. Mon gabarit n’est pas le plus imposant, je vous l’accorde, mais j’essaie de compenser par ma vitesse de glisse. Aussi, j’essaie de me baisser le plus rapidement possible. Au niveau international, le plus difficile, ce n’est pas les impacts en eux-mêmes. C’est davantage la lecture, l’analyse du jeu adverse, savoir prendre les bonnes décisions dans la vitesse. C’est sur ce facteur qu’on ressent vraiment la différence entre le Top 14 et le niveau international : il faut se décider plus vite, on a moins le droit à l’erreur. Je m’étais d’ailleurs fait surprendre au match aller en Écosse. Par Stuart Hogg, je crois, à l’extérieur.”