Les Girondins ne disputeront donc pas une finale historique de la Coupe d’Europe le samedi 22 mai prochain à Twickenham puisque c’est Toulouse qui défiera le Stade Rochelais.
Interrogé via le Midi Olympique de ce vendredi, le manager de Bordeaux-Bègles, Christophe Urios a révélé un point positif de cette élimination en Coupe d’Europe.
Il estime que cela va permettre à son équipe de rattraper l’un de ses matches en retard le week-end des finales Européennes et non pas en pleine semaine comme c’est le cas de Toulon notamment, qui défiera Montpellier le mardi 11 mai prochain. Extrait:
« Finalement, le fait d’avoir perdu à Toulouse a au moins permis de libérer une date le week-end du 22 mai. C’est bien. Le fait de ne pas jouer le mardi 11 comme ça avait été envisagé a aussi du bon. Ça nous garantit trois semaines de travail, après trois semaines qui ont été difficiles. Une chose est sûre, les quatre rendez-vous qui se profilent – Bayonne, Agen, Castres et Montpellier – sont fondamentaux. »