Lors d’un entretien accordé au journal L’équipe, l’ailier des Bleus a exprimé sa satisfaction et son soulagement. Extrait:
“Je suis très heureux de pouvoir m’inscrire dans la durée avec le Racing. J’y suis arrivé en 2014 et je ne suis pas quelqu’un qui vagabonde de club en club. Ce n’est pas dans mes habitudes.”
Il concède que l’arrivée de Gaël Fickou a été l’élément déclencheur. Extrait:
“C’est un ensemble de choses mais il faut être honnête : l’arrivée de Gaël Fickou au Racing a bien évidemment accéléré les choses. Je ne dirais pas “facilité” parce que c’était déjà clair dans ma tête. Je suis au club depuis sept ans et l’amitié qui me lie à certains joueurs est une chose à laquelle je tenais et je tiens. Mes liens avec Virimi Vakatawa sont forts, avec Juan Imhoff aussi.”
Pour lui, jouer aux côtés de son meilleur ami était véritablement quelque chose d’important. Extrait:
“L’opportunité de jouer dans la même équipe que son meilleur ami, ça n’arrive qu’une fois dans une carrière. Avec Gaël, on se connaît depuis l’équipe de France des moins de quinze ans. Quand il jouait à Toulouse et moi à Biarritz, on se voyait régulièrement. Il n’y avait que trois heures de voiture. C’est à ce moment-là qu’on s’est construit une bande de copains.”
Teddy Thomas avoue avoir mis un plan en place avec Gaël Fickou. Extrait:
“Aujourd’hui, nous sommes tous à Paris ou en région parisienne. Je n’avais pas envie de m’éloigner d’eux non plus. Avec Gaël, on avait mis un plan en place : tout faire pour qu’un jour on puisse jouer dans le même club. En fait, c’est aussi une histoire humaine.”
Pour conclure, Teddy Thomas souhaite remercier les dirigeants Franciliens qui ont accepté de lui proposer un nouveau contrat. Extrait:
“J’ai aussi compris ce que le Racing attendait de moi. Et je remercie le président et le staff de leur confiance. En fait, tout passait par le terrain. Je n’étais pas décisionnaire de tout et ce n’était pas sûr que je reste. C’était un pari risqué, très risqué. Mais je savais que ça passerait par les choses que j’allais montrer sur le terrain.”