Ce-dernier a notamment explique son grand désaccord avec l’actuel manager Agenais Régis Sonnes.
Il l’affirme : Régis Sonnes n’a rien à faire à la tête du SUA.
Il précise avoir quitté le club Agenais quelques semaines seulement après son arrivée au SUA en tant qu’entraineur des avants car il ne s’entendait pas du tout avec le manager Régis Sonnes. Extrait:
“La personne qui était venue me chercher (Régis Sonnes) m’avait choisi mais moi, je ne l’avais pas choisie. Entre nous deux, ça ne pouvait pas marcher. Le diplôme, c’était un faux problème.”
Selon lui, Régis Sonnes n’est pas fait pour être manager. Extrait:
“Il n’est pas fait pour être numéro 1. Régis, à l’époque où il m’entraînait à Agen, je l’aimais bien. Mais il était numéro 3, en ce temps-là ; il ne s’occupait que de la touche et dans ce secteur, il était compétent. Là, c’est différent.”
Il estime qu’il s’y prend très mal avec les joueurs qui connaissent une saison terrible. Il a d’ailleurs préféré partir avant qu’il ne se passe une “catastrophe”. Extrait:
“Chez lui, tout est axé sur le plaisir, le bien-être des joueurs… Mais quand tu as la tête à l’envers après vingt défaites, il faut autre chose et à Agen, c’était un électrochoc qui était nécessaire. Tous les deux, on n’était pas d’accord : j’ai préféré partir avant qu’il ne se passe une catastrophe.”
Pour conclure, Djalil Narjissi affirme que le manager aurait dû être Christophe Deylaud et non pas Régis Sonnes. Extrait:
“A l’entraînement, ça bossait… Mais bon… Quand tu es chef, tu ne peux pas être pote avec tes joueurs, voilà tout ! Pour moi, c’est Christophe Deylaud qui aurait dû avoir ce poste ; seul lui aurait pu sauver ce qui pouvait encore l’être. Parce que Deylaud, c’est un patron.”