L’ex-centre qui comptabilise 89 sélections avec l’Italie a récemment été écarté du staff technique du club de Soyaux-Angoulême (Pro D2). Ce-dernier était responsable du secteur de la défense.
Depuis ce licenciement, aucun club de Top 14 ou de Pro D2 ne s’est manifesté pour le recruter.
Pire : l’Italien n’a pas décroché le moindre entretien avec un club Français durant ces derniers mois.
Lors d’un entretien accordé au Midi Olympique, Mirco Bergamasco estime que certaines personnes parlent en mal de lui, chose qui sali sa réputation. Extrait:
“Il y a des gens qui parlent de moi en mal, des gens qui me savonnent la planche. On a sali ma réputation. Mon agent me dit qu’à chaque fois qu’il donne mon nom, l’interlocuteur tourne la tête.”
Il précise que tous les présidents du rugby Français lui refusent le moindre entretien. Extrait:
“Tout n’a pas été facile avec Soyaux-Angoulême l’an passé mais j’ai aussi fait mes preuves en tant qu’entraîneur : au cours de ma première saison en tant que coach de la défense du SA XV, pour ce qui était ma toute première expérience d’entraîneur, le club a terminé la saison avec la troisième meilleure défense du championnat. C’est costaud. Mais si tous les présidents du rugby français me refusent un entretien, je ne pourrai jamais prouver ce que je vaux…”
Lassé par cette situation, Mirco Bergamasco est rentré en Italie, à la recherche d’un nouveau challenge.