Ce vendredi, le manager du Stade-Toulousain, Ugo Mola s’est confié dans les colonnes du journal L’équipe pour évoquer l’actualité de son club.
Ce-dernier s’est notamment montré sceptique sur l’état de ses troupes en ce début d’année 2022.
Entre les deux matches perdus coup sur coup contre Bordeaux-Bègles et Clermont ainsi que les deux cas positifs détectés dans l’effectif professionnel cette semaine, Ugo Mola estime que les rebonds ne tombent plus du bon côté pour Toulouse. Extrait:
« Il y a des moments où vous sentez que vous êtes du bon côté, et d’autres où vous sentez que vous ne l’êtes pas. Aujourd’hui, clairement, les rebonds ne tombent pas du bon côté. Mais on ne va pas trop se plaindre, parce qu’on a eu notre lot de bons rebonds. »
Par ailleurs, il regrette énormément que les matches contre le Stade-Français Paris et Montpellier aient été reportés. Il aurait aimé profiter de ces deux matches pour aligner des joueurs en manque de temps de jeu et relancer certains éléments. Extrait:
« On espérait procéder à une revue d’effectif, notamment sur les trois matches de Top 14 entre les deux blocs de Coupe d’Europe, et malheureusement, à cause de deux matches reportés contre le Stade Français et Montpellier, on n’a pas pu la faire. On a notamment des jeunes qui mériteraient d’être exposés et qui, à cause des matches qui ne se jouent pas, ne pourront pas l’être, en tout cas pas aussi rapidement qu’on l’aurait souhaité. »
Pour conclure, Ugo Mola a évoqué le match à venir contre les Wasps comptant pour la troisième journée Européenne. Extrait:
« Dans notre esprit, c’est déjà un match déterminant. On le prépare d’ailleurs comme une rencontre quasi éliminatoire. On s’attend à un gros défi. Cette équipe des Wasps sort d’un match au temps de jeu assez impressionnant de quarante-deux minutes face à Leicester. Pour vous donner un ordre d’idée, notre fameux Top 14 en est aujourd’hui à trente-deux minutes de temps de jeu effectif en moyenne. Donc, autant vous dire qu’il faudra sortir l’oxygène pour les dix minutes restantes. C’est forcément quelque chose qui nous préoccupe. »