Benoît Paillaugue s’est gravement blessé au genou gauche lors du match perdu par Montpellier à Agen (31-29) en Top 14. Le staff du MHR redoute une rupture des ligaments croisés du demi de mêlée, qui revenait tout juste de blessure.
Samedi pourri pour le Montpellier Hérault Rugby. Après quatre victoires de rang en Top 14, les Montpelliérains de sont inclinés à Agen (31-29) lors de la 19e journée. Et en plus, ils ont à nouveau perdu Benoît Paillaugue. Le demi de mêlée faisait son retour à la compétition (il est entré en début de seconde période) après une précédente blessure à la cheville gauche qui l’avait tenu éloigné des terrains depuis janvier. Il n’a pas terminé la rencontre.
Déjà deux blessures importantes cette saison
Dans les arrêts de jeu, Benoît Paillaugue a perdu ses appuis sur un crochet et son genou s’est dérobé. C’est en larmes qu’il a quitté le terrain, allongé sur une civière. “Je pense que c’est assez grave”, a commenté Vern Cotter après la rencontre.
Le joueur est sorti du stade Armandie en s’appuyant sur des béquilles, une attelle autour du genou gauche. Aucun diagnostic n’a été établi pour le moment, mais dans le camp du MHR, on craint une rupture des ligaments croisés. Ce serait la 3e grosse blessure de Paillaugue cette saison.
Salut Benoît, j’ai connu cette blessure dans les années 8O, j’ai été opéré à Bordeaux et j’ai pu rejouer, j’avais ton âge. Maintenant ils ont fait des progrès en médecine pour cette blessure. Je t’envoie ce message pour te dire mon admiration pour ton jeu de passes et de savoir faire jouer dans les espaces tes partenaires. Le bienfait de la formation française et Rochelaise !!! Un bonjour à tes parents et surtout un bon rétablissement et à te revoir bientôt sur les terrains. Michel VOUZELLAUD
Alain Gensac dit « Gégéne » pieds nus à n’importe quelle période de l’année et des répliques dignes des plus grands « on va leur faire bouffer tellement de terre qu’ils vont chier des vases », « je vais te foutre le nez derrière la tête », « sautez moi sur les pieds j’en ai rien à branler », « on va les faire monter si haut en mêlée qu’on va pouvoir leur mettre des pailles dans le cul… » Quand on entend ce genre de choses en Cadets, ça peut paraître un peu particulier (rires) Si le rugby n’existait pas, quel sport aurais-tu fait ?
San Francisco still lacks a true burner at the position.
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