Cette semaine, l’Union Bordeaux-Bègles prépare son match contre Montpellier, programmé ce week-end à l’occasion de la deuxième journée du Top 14.
Le manager Bordelais Christophe Urios a fait le point sur les joueurs indisponibles pour cette rencontre via Rugbyrama. Extrait:
“Pierre Bochaton, tendon rotulien, Pablo Dimcheff, cheville, Antoine Miquel était un peu fatigué.”
Dans la foulée, il explique qu’aucun joueur de son effectif ne veut se ménager en ce début de saison. Extrait:
“On a ménagé personne à part Rémi Lamerat qui a pris un coup sur le sternum. Quand on est quarante, on a besoin de ménager personne. Aucun joueur ne vaut être ménagé. c’est notre objectif, être nombreux sur le terrain, le plus possible. On a trop souffert l’an passé avec tous ces blessés. Il n’y avait pas d’émulation à l’entraînement ; ce qu’on vit actuellement, c’est un cadeau.”
Pour sa part, le pilier Ben Tameifuna n’est pas encore prêt. Extrait:
“Ben Tameifuna est arrivé la semaine dernière. On l’a laissé reprendre en salle. Il a repris le rugby cette semaine. Mais il ne postulera pas pour le match de Montpellier. Il sera opérationnel face à Castres.”
Questionné sur la moyen de locomotion des Bordelais pour ce match à Montpellier, Christophe Urios indique que l’UBB se déplacera en avion et non pas en char à voile, référence à la réponse de l’entraineur du PSG, cette semaine à un journaliste lui demandant si son équipe allait se déplaçait en avion cette saison. Ce-dernier avait alors répondu que le PSG allait se déplacer en “char à voile”. Extrait:
“En char à voile ? Non, on y va en avion. Mais nous sommes très sensibles à ce qui se passe. Nous ne sommes pas fous. Le déplacement de Montpellier est le seul qu’on fera en avion. Le reste on le fera en bus ou en train.”*
Pour conclure, il approuve le rugby pratiqué par ses joueurs qu’il dit de haut niveau. Extrait:
“Gagner contre Toulouse aurait été important aussi. Mais on n’a pas su le faire mais nous sommes ressortis avec pas mal de choses positives. Oui, il faut prendre des points, même si on sait où on met les pieds. Ce qui est important, c’est être cohérent dans notre rugby. J’ai regardé les matchs de la première journée, j’ai trouvé franchement qu’on y pratiquait un rugby de haut niveau et ça a accentué mes doutes. Sera-t-on à ce niveau ? En plus, la rencontre La Rochelle-Montpellier fut à mes yeux particulièrement costaude. Le MHR est une équipe monolithique, il faudra savoir la bouger. On a su le faire par le passé. Mais en demi-finale, oui, ils nous ont battus sans discussion possible. On verra si on a progressé en quinze semaines.”