Le troisième ligne Mathieu Hirigoyen a quitté le Biarritz Olympique afin de rejoindre le Stade-Français Paris l’été dernier.
Interrogé via Rugbyrama, ce-dernier a expliqué sa décision de quitter le club Basque pour rejoindre le club de la Capitale.
Il souhaitait réellement poursuivre sa carrière en Top 14. Extrait:
“J’ai goûté au Top 14 la saison dernière avec Biarritz et j’avais à cœur de continuer dans ce championnat et de jouer le haut de tableau. Paris a été intéressé, il y a vite eu des discussions et le fait de venir avec Lucas a beaucoup joué aussi. Il a avait aussi cet aspect de jouer dans la capitale, donc finalement cela a été un choix plutôt facile.”
Dans la foulée, il indique que son destin est lié avec celui de Lucas Peyresblanques, lequel a également rejoint Paris au mois de juillet dernier. Extrait:
“Oui nous avons une relation très forte. Cela fait plus de dix ans qu’on se connaît, et que ce soit sur le terrain ou en dehors on est très content d’être à nouveau ensemble à Paris pour ces prochaines saisons. On a été contacté un peu en même temps, mais les dossiers étaient évidemment bien différents, puis on a vite compris que notre destin allait être lié que ce soit au Stade français ou avec un autre club.”
Dans la foulée, il évoque les différences qui existent entre le Biarritz Olympique et le Stade-Français puis analyse le début de saison du club de la Capitale. Extrait:
“La première différence est surtout au niveau des installations. Ici, nous avons des installations de très haut niveau que ce soit pour l’entraînement ou la récupération. Le staff est également plus étoffé à Paris donc il y a plus de détails, étant donné que c’est un club plus important que Biarritz. Mais au niveau des hommes, il n’y a pas une grande différence.
On n’a pas fait un bon début de saison, ni un mauvais d’ailleurs, finalement c’est un début moyen. On a gagné tous nos matchs à domicile mais nous n’avons ramené qu’un point à l’extérieur. Maintenant, c’est à nous de lancer une petite série de victoires pour basculer dans le haut de tableau, c’est à nous d’aller chercher cela sur le terrain.”