L’arrière international Français Thomas Ramos s’est confié en conférence de presse ce dimanche.
Ce-dernier a notamment parlé du retour d’Antoine Dupont au sein du groupe France. Extrait:
Déjà, pour le groupe, c’est bien de se retrouver à 33 puisque nous étions 32 depuis quelques jours. C’est une bonne chose de retrouver quelqu’un qui s’est fait mal. Je l’ai trouvé souriant. Il a pu se reposer un peu après l’opération. C’est agréable de le revoir mais nous nous sommes aussi préparés, toute la semaine dernière, au fait qu’il mette un peu de temps à revenir. Son retour a été assez fluide.
Il l’affirme : ce n’est pas du tout gênant que le retour d’Antoine Dupont fasse autant parler dans la presse. Extrait:
Pas du tout. Certes, Antoine est notre capitaine, et il est très influent dans le jeu. Mais dès la semaine dernière, on s’est dit que notre équipe possède deux autres demis de mêlée de qualité. Ils attendent également leur chance pour s’exprimer. On l’a répété, notre force depuis quatre ans, c’est de compter sur l’ensemble du groupe. On a totalement confiance en chacun des hommes qui le composent, donc en nos deux autres numéros 9. On n’a pas de doute sur le fait que ça se passe bien.
Dans la foulée, Thomas Ramos évoque l’importance du jeu au pied. Extrait:
Quand on aborde un match, on en parle et l’objectif est de gagner le plus de terrain possible par rapport à l’adversaire. Même contre la Namibie, nous avons été sérieux sur les sorties de camp, on a su occuper, rester chez eux. Il y a eu un gros écart dans le jeu au pied au final. C’est un secteur où on essaie d’être performant. Le week-end prochain encore, on aura l’opportunité de faire reculer l’Italie pour rester chez elle, la mettre sous pression, et bien défendre pour se nourrir des pénalités ou de ballons de turnover.
Pour conclure, Thomas Ramos indique que les Bleus sont passés en mode phase finale. Extrait:
Déjà, la semaine dernière, il est vite revenu ce terme de huitième de finale dans les bouches et les têtes. C’est la réalité de la compétition. Évidemment, on passe vraiment en mode phase finale. On sait pertinemment que, si on perd un match, on rentrera très déçus chacun chez soi. Notre groupe travaille avec beaucoup d’envie, avec le sourire et dans la joie, mais aussi avec encore plus de concentration dans les jours qui arrivent.