L’ailier international Français Louis Bielle-Biarrey s’est confié via Midi Olympique à l’approche du match des Bleus contre l’Italie, programmé dimanche à Lille.
Dans un premier temps, il se rappelle du match disputé contre l’Italie durant le Mondial. Extrait:
Un super souvenir. On avait pris le match par le bon bout, et donc cela s’était très bien passé. C’est pourquoi nous pouvons nous appuyer là-dessus pour préparer l’échéance de dimanche prochain. On avait mis tous les ingrédients en place, dans le combat et dans le jeu. On sait que ça passera par là. Ce ne sera pas un match facile, mais on peut se le rendre facile. Si on met tous les ingrédients, si on est bons sur les bases de notre rugby, on pourra reproduire certaines choses.
Il a ensuite évoqué les difficultés rencontrées contre l’Ecosse, il y a une dizaine de jours. Extrait:
Tout n’a pas été parfait offensivement, c’est vrai. D’ailleurs je trouve que nous avons fait preuve d’un très gros caractère pour revenir dans la partie malgré ces difficultés. On travaille pour rectifier ces problématiques. On veut se rassurer et montrer qu’on peut faire de belles séquences offensives, ce sera l’un des objectifs de dimanche contre l’Italie.
On doit retrouver la confiance. Ça passera par des bons matchs, ou des victoires comme celle que nous remportée à Murrayfield, où ce n’était pas du tout évident de gagner. Et je pense que petit à petit, on va retrouver confiance en notre jeu, en notre système, en notre défense, en notre touche.
Il se confie également sur les problèmes rencontrés sous les ballons hauts contre l’Ecosse. Extrait:
Pour le coup, on a un peu travaillé le domaine. Toute l’équipe a conscience qu’on a un axe de progression là-dessus. On a beaucoup bossé cette semaine. À la fois individuellement et collectivement, parce que le problème de la lutte aérienne ne concerne pas seulement celui qui saute. On espère que le travail va payer ce week-end.
Pour conclure, Louis Bielle-Biarrey indique ne pas avoir de pression quant à sa place de titulaire. Extrait:
Tout le monde veut être titulaire à tous les matchs, évidemment. Mais des choix avaient été opérés pour la stratégie du match contre l’Irlande. Dans ces conditions, être « finisseur » ou « starter », cela n’avait pas une si grande importance. Et de la même manière, je ne m’étais pas mis une pression particulière pour jouer contre l’Ecosse. Je veux juste faire les meilleurs matchs possibles, quel que soit mon rôle.