Madame Gibbes a tranché !
Jono Gibbes, entraîneur des « Baby Blacks », qui s’apprêtent à disputer la Coupe du monde des moins de 20 ans en Afrique du Sud, n’a pas réussi à convaincre son épouse de le suivre à Lyon pour occuper le poste d’entraîneur principal. Après quinze années passées en Europe, entre le Leinster, l’Ulster, La Rochelle et Clermont, Madame Gibbes souhaite que leurs trois enfants terminent leur scolarité en Nouvelle-Zélande.
À un mois de la reprise de l’entraînement, prévue à la mi-juillet, le LOU Rugby se retrouve donc sans entraîneur principal.
Fabien Gengenbacher, manager du club, avait exprimé le désir de se concentrer davantage sur des aspects stratégiques et de gestion, nécessitant ainsi le recrutement d’un nouvel entraîneur principal. Cependant, la recherche de l’oiseau rare se poursuit.
Le club Lyonnais ne reste pas sans solution et envisage un plan B avec un profil bien défini. Le nouvel entraîneur principal devra non seulement posséder des compétences solides en défense, mais aussi jouer un rôle de coordination au sein du staff technique. Il devra également travailler en complémentarité avec Fabien Gengenbacher, qui restera le responsable du secteur sportif.
Depuis le début de la semaine, de nombreux CV ont atterri sur le bureau de Yann Roubert, président du LOU Rugby. Parmi les candidats potentiels figurent Laurent Travers, Jean-Baptiste Elissalde et Rory Teague.
Toutefois, les décideurs lyonnais préfèrent ne pas se précipiter. « Nous ne voulons pas prendre quelqu’un juste pour le principe », a confié Roubert en milieu de semaine au journal régional Le Progrès.
Le LOU espère néanmoins annoncer son nouvel entraîneur principal avant la fin du mois, prenant le temps nécessaire pour s’assurer de trouver le profil idéal pour mener l’équipe vers de nouveaux succès.
Affaire à suivre…