Ce n’est plus un secret pour personne : Baptiste Couilloud a prolongé son contrat avec le LOU Rugby jusqu’au mois de juin 2030.
Interrogé via Actu Rugby, ce-dernier a expliqué qu’il s’agissait du choix du coeur.
Il affirme avoir voulu envoyer un signal fort en prolongeant son contrat jusqu’en 2030. Extrait:
“C’est un choix du cœur de m’inscrire sur la durée avec mon club formateur. Je suis très attaché au LOU et à la ville de Lyon de manière générale. Prolonger sur un si long terme est une manière aussi d’envoyer un signal à ceux qui doutent du projet lyonnais à la fois en interne et pour les joueurs qui souhaitent nous rejoindre. C’était important pour moi de montrer qu’il y avait tout qui était déjà créé à Lyon pour permettre d’atteindre nos objectifs. C’est donc le signe d’un club attractif.”
Il confirme que le Racing 92 souhaitait réellement le recruter.
Mais les négociations n’ont pas été très loin. Extrait:
“Oui, il y a eu un réel intérêt du Racing 92. J’ai essayé d’être le plus honnête et le plus transparent avec le Racing 92 durant nos échanges. Je voulais d’abord m’entretenir avec mon club avant d’entamer des négociations avec d’autres. Cette attitude me paraissait normale par rapport à ma situation. Finalement, nous n’avons pas poussé les négociations très loin car la prolongation s’est faite assez rapidement avec Lyon. C’était la volonté de tout le monde que cela se fasse de cette manière.”
Pour conclure, Baptiste Couilloud affirme rêver de soulever le Bouclier de Brennus avec Lyon. Extrait:
“On est sur une nouvelle dynamique. Aujourd’hui, les ajustements dans le staff et l’organigramme du club me font penser que tout va dans la bonne direction. On a un projet de club qui commence à se construire avec des certitudes. On est conscient que la saison dernière a été délicate. Mais je fais partie de ceux qui n’ont pas envie de quitter le navire quand il commence à couler. Encore une fois, j’ai un attachement très fort à ce club et j’ai envie de contribuer à sa réussite et un jour soulever le bouclier de Brennus.”