Comme précédemment expliqué, l’EPCR a, dans un premier temps, accusé Mourad Boudjellal d’avoir envoyé un SMS injurieux à un Commissaire à la Citation de son institution.
Finalement, Mourad Boudjellal a dévoilé hier que l’EPCR l’avait contacté pour lui signifier le retrait du SMS de ce dossier, une enquête interne ayant démontré qu’il n’avait jamais envoyé ce message.
L’institution européenne, droit dans ses bottes, a publié un communiqué ce jour afin de confirmer la chose :
“L’EPCR prend note des réactions et informations communiquées par M. Mourad Boudjellal dans le cadre de la procédure disciplinaire en cours. L’EPCR souhaite confirmer que, sur la base des premiers résultats d’une enquête interne toujours en cours, le « SMS », qui faisait auparavant partie des preuves de la procédure disciplinaire à l’encontre de M. Boudjellal, n’a été envoyé ni par lui-même, ni depuis son téléphone.
L’EPCR a en conséquence retiré cet élément de la procédure, en a informé M. Boudjellal, et va continuer à enquêter sur l’origine de ce message. Par ailleurs, tel qu’il a été indiqué précédemment, l’organisation coopérera pleinement avec toute autre enquête menée par les autorités françaises à la suite des plaintes déposées par M. Boudjellal, et au sujet desquelles elle n’a toujours pas été contactée.
La procédure disciplinaire indépendante menée par l’EPCR suite aux divers propos de M. Boudjellal va se poursuivre. L’EPCR ne fera aucun autre commentaire pendant que celle-ci est en cours.”