Dans son édition du jour, le quotidien sportif L’équipe fait de graves accusation concernant le vice-président de la Fédération Française de Rugby : Serge Simon.
Ainsi, le journal sportif explique que Serge Simon est celui qui gère l’organisation des points presse.
Par exemple, le bras droit de Bernard Laporte posséderait des médias privilégiés qui accéderaient à davantage d’informations que d’autres médias.
Lors de certains écarts, Serge Simon aurait appelé les médias concernés pour leur faire des remontrances.
Ce-dernier aurait d’ailleurs placé sur liste noir le média L’équipe qui critique de manière très fréquente le président de la Fédération Française de Rugby Bernard Laporte, et les dirigeants de la Fédérations de manière générale.
Toutes les demandes d’interview du quotidien L’équipe sont ainsi repoussées de manière systématique.
Le journal sportif fait d’autres révélations : Serge Simon aurait mis en place un concept d’entretien “sous conditions“. Il est notamment expliqué que le vice-président de la FFR aurait accepté que le capitaine Guilhem Guirado se confie auprès du Midi Olympique qu’à certaines conditions.
Par exemple, le journaliste n’avait le droit qu’à une seule question concernant la relation de Guilhem Guirado avec le staff Tricolore. Par ailleurs, avant publication, l’interview devait passer en relecture par un haut responsable fédéral pour validation. Ce haut responsable serait d’ailleurs Serge Simon lui-même.
Autre révélations faites par L’équipe : Serge Simon aurait exigé auprès du Midi Olympique d’obtenir la UNE du bi-hebdomadaire ainsi que les pages 2 et 3. Mais les dirigeants du journal spécialisé ont refusé.
Enfin, la rumeur court qu’un partenariat aurait été mis en place entre un groupe de médias et l’équipe de France, lequel pouvait accéder à des informations privilégiées par rapport à d’autres médias non partenaires.
Un haut responsable d’une chaîne de télévision Française aurait d’ailleurs contacté Bernard Laporte pour lui demander des explications, en vain.
Simon, Laporte, le staff de l’EDF et les dirigeants de la fédération, un groupement qui ne pense surtout qu’à leurs intérêts et peu à l’avenir du rugby en France. Heureusement qu’un groupe de dirigeants honnêtes ne voulant plus de ces méthodes mafieuses s’est levé pour mettre dehors démocratiquement ces pieds nickelés.
fonctionnement, comportement , même le look, tout y est comme un certain……….castaner.
Tout à fait d’accord Mr Saudubray mais il faudra tous se mobiliser afin de les évincer aux prochaines élections vu les méthodes qu’ils utilisent. Bon courage.
Un p’tit chef..quoi.grise par le pouvoir…lamentable..