L’information est révélée en exclusivité par le journal Sud-Africain Rapport ce dimanche : le sélectionneur de l’Afrique du Sud, Rassie Erasmus effectuait des séances de chimiothérapie durant la dernière Coupe du monde au Japon.
Victime d’une granulomatose avec polyangéite qui est une grave atteinte inflammatoire des vaisseaux sanguins, le technicien des Springboks a été traité par chimiothérapie pendant toute l’année civile 2019.
Pour ne pas affecter son effectif durant le Mondial, Rassie Erasmus avait décidé de garder le secret.
On apprend également que la chimiothérapie avait énormément affaibli le technicien Sud-Africain. Extrait:
“Il y eut des jours durant la compétition où Rassie était vraiment très faible. A un moment, il a même douté du fait qu’il puisse aller au bout du tournoi mondial.”
La fin est heureuse pour Rassie Erasmus : non seulement ses joueurs ont remporté la Coupe du monde, mais en plus le traitement a fonctionné puisqu’il est guéri.