Le directeur général du Stade-Français Paris, Thomas Lombard s’est confié dans les colonnes du journal Le Figaro pour faire un point sur les tests effectués par ses joueurs contaminés.
Celui-ci annonce qu’il n’y a pas d’aggravation de la situation. Les joueurs positifs sont restés positifs et les négatifs sont restés négatifs. Extrait:
“Il n’y a pas d’aggravation. Nos positifs restent positifs et nos négatifs restent négatifs. Il n’y a pas de nouveaux cas. Ce qui signifie, a priori, que nous avons circonscrit la contamination. Et, lundi matin, tous les joueurs repasseront à nouveau les tests. On n’a aucun cas grave. Que des asymptomatiques.”
Selon lui, les joueurs qui ne sont pas contaminés pourraient reprendre l’entraînement dès lundi. Les joueurs contaminés devront bien évidemment patienter. Extrait:
“On peut envisager un retour à la normale lundi pour les joueurs négatifs puisqu’ils ont leurs trois tests négatifs d’affilée. Ils peuvent se ré-entraîner dès lundi puisque nous avons désormais la garantie qu’il n’y a pas de faux-négatifs parmi eux. Et on verra lundi, à l’issue d’une nouvelle série de tests ce qu’il advient de nos joueurs positifs puisque, en théorie, on sera à quatorze jours par rapport au premier cas de contamination à Nice.”
Thomas Lombard affirme régulièrement que ses joueurs seront prêts pour le début de la saison. Il précise parler en terme d’effectif et pas forcément en terme de forme physique. Extrait:
“Quand je dis «nous serons prêts», je parle en terme de joueurs disponibles pour jouer. Après, évidemment, nous ne serons pas, en terme de préparation, dans une situation optimale puisque nous aurons eu cette quatorzaine à l’arrêt, des reprises échelonnées selon les joueurs… On s’adaptera.”
Pour conclure, Thomas Lombard indique que le match amical contre le Rugby Club Toulonnais programmé le jeudi 27 août prochain reste d’actualité. Extrait:
“Pour nous, il reste évidemment d’actualité. Envisager de reprendre le championnat le 4 septembre contre Bordeaux sans avoir disputé la moindre rencontre amicale me paraît à haut-risque…”