Le patron de la FFR indique avoir toujours du mal à réaliser la mort de son ami.
Pour lui, Christophe Dominici est toujours présent. Extrait:
“On nous impose son absence. On subit. C’est toujours aussi difficile quand j’y pense. J’ai du mal à l’accepter et à y croire. Pour moi, il est toujours là. Je ne peux pas imaginer autre chose, même si on ne se voyait pas tous les jours, on était très proches. Je ne lis pas ce qui se dit sur l’enquête après sa disparition. C’est trop dur. Je sais que le rugby manquait beaucoup à Christophe. Il donnait énormément d’énergie aux autres et en recevait aussi. Je suis pareil, j’ai besoin de cela. Quand je suis à la remise des maillots, je vis le truc. Je ne le faisais pas auparavant. Je ne voulais pas emmerder les sélectionneurs qu’on dise que je l’étais à leur place. Depuis que Fabien est en poste, je suis content de voyager et d’être plus souvent avec le groupe.”