Pour amplifier l’efficacité de la bulle sanitaire, le sélectionneur Tricolore Fabien Galthié a d’ailleurs accepté de réduire son groupe à 31 éléments et de tirer donc temporairement un trait sur les 42 joueurs qu’il désirait initialement.
Cette semaine, les journalistes espéraient pouvoir effectuer leur retour à Marcoussis afin de pouvoir s’entretenir avec les joueurs. C’était, en tout cas, ce qui avait été envisagé par la Fédération Française de Rugby.
Mais selon les informations du journal Le Figaro, il n’en sera rien puisque les conférences de presse se dérouleront finalement en visioconférence.
Seuls quelques médias seront autorisés à assister à l’entraînement à haute intensité programmé mercredi. Mais seulement pour effectuer des vidéos. Pas d’interview ni de rapprochement avec les joueurs donc. La pelouse leur sera interdite et ils devront rester dans la tribune de presse.
Dans son édition du jour, le journal L’équipe nous informe pourtant que la bulle sanitaire pourrait être percée à l’issue du match contre l’Irlande, programmé dimanche après-midi à 16h00, à Dublin.
En effet, le staff de l’équipe de France a transmis au Comité du Tournoi des Six-Nations une demande visant à libérer les internationaux pendant quatre jours, à savoir du jeudi 18 février eu dimanche 21 février, lors de la première semaine de relâche.
Pendant ces quelques jours de relâche, les joueurs pourraient rentrer chez eux mais ne pourront pas jouer les matches du Top 14. Ils devront également limiter énormément leurs déplacements et leurs interactions.
Aussi, ils ne pourront réintégrer le groupe France à Marcoussis uniquement après s’être faits tester négatif, sans quoi ils ne pourront pas préparer le match contre l’Ecosse programmé le samedi 27 février au Stade de France.
Reste à savoir si le Comité du Tournoi des Six-Nations acceptera une telle requête. Affaire à suivre…