Le polyvalent trois-quarts a indiqué qu’il souffrait de blessures traumatiques au cerveau, qu’il était victime d’un début de démence et d’une probable encéphalopathie chronique.
Le joueur Anglais indique qu’il s’avait ce qu’il infligeait à son corps. En revanche, il ne savait pas que son cerveau se détériorait. Extrait:
« Je me suis impliqué pour accéder à des traitements par des spécialistes et pour mieux comprendre ce qui m’arrive. Le but est aussi d’aider d’autres anciens professionnels à obtenir un accès à des soins d’élite pour traiter les blessures subies pendant leur carrière, une option qui nous est retirée après notre retraite sportive. Les autorités du rugby ont la responsabilité de s’occuper de nous après notre retraite. Mais la prévention, c’est quand même mieux que le traitement. Je savais ce que j’infligeais à mon corps, mais je ne réalisais pas ce que je faisais à mon cerveau. Mon plus gros problème aujourd’hui, c’est la mémoire. »