Un fort désaccord existe entre la mairie de la ville et le club. Par conséquent, le président Jean-Baptiste Aldigé cherche par tous les moyens à délocaliser le club dans une autre ville.
Récemment, ce-dernier était en contact avancé avec la ville de Lille pour tenter de délocaliser le Biarritz Olympique dans le Nord. Finalement, l’affaire est tombée à l’eau. Mais le patron du BO n’a pas laissé tomber l’idée et songe à contacter d’autres villes pour accueillir son club.
Ainsi, les villes de Reims, de Monaco, de Nice ou encore de Rouen pourraient être contactées dans les jours à venir.
En attendant, la guerre se poursuit en interne comme nous l’indique Rugbyrama ce mercredi soir. En effet, la mairie a indiqué au Biarritz Olympique qu’il n’avait pas renouvelé les contrats d’eau et d’électricité d’une partie du stade Aguilera.
Dans un courrier adressé au club, la mairie de Biarritz demande aux dirigeants du club Basque de prolonger eux-mêmes les contrats de maintenance et des fluides de la tribune Blanco.
Mais sans réponse du club et étant donné que les contrats sont arrivés à échéance au mois de décembre dernier, tout pourrait être coupé très prochainement.
Généralement, ces formalités administratives sont effectuées par les mairies. Mais étant donné que la guerre est ouverte entre la mairie et le club, la mairie a décidé de mettre des bâtons dans les roues de son propre club.
Et si aucune solution n’était trouvée rapidement, il se pourrait que l’école de rugby du Biarritz Olympique se retrouve dans le noir et sans eau.
Quelle triste affaire…