Mais pour l’heure, le technicien Auvergnat n’a pas encore décidé quel challenge il allait relever.
Va-t-il rejoindre le club de Montpellier avec son président Mohed Altrad ? Va-t-il prendre la direction d’un autre club du Top 14 ? D’une sélection ? Va-t-il prendre des vacances et s’accorder une année sabbatique ?
Le flou demeure et la situation n’arrange pas les affaires de l’ASM qui souhaite rapidement enrôler le successeur de Franck Azéma, avant la fin du mois d’avril si possible.
Mais pour cela, le président de Clermont, Jean-Michel Aguillon souhaite que Franck Azéma se décide afin que les négociations autour de la libération du technicien puissent avancer.
Et pour cause, l’ASM ne libérera pas Franck Azéma gratuitement. Le club qui le recrutera devra mettre la main à la poche et payer les deux années de contrat qui lui restent.
Cette indemnité financière permettra alors au club Auvergnat de pouvoir indemniser à son tour un autre club pour recruter un manager sportif. Et on pense bien évidemment à l’actuel entraineur de La Rochelle, à savoir Jono Gibbes, lequel est en pôle position pour remplacer Franck Azéma à Clermont.
Selon les informations du journal La Montagne, le top départ des négociations sera donc donné par Franck Azéma puisque l’ASM est dans l’attente que le dossier évolue. Dans la foulée, des négociations avec le Stade Rochelais devraient débuter pour obtenir la libération anticipée de Jono Gibbes.
Aussi, cette indemnité financière pourrait permettre à l’ASM de se séparer des adjoints de Franck Azéma qui sont encore sous contrat. En effet, Jono Gibbes pourrait décider de rejoindre Clermont avec ses propres adjoints dont notamment Dato Zirakashvili pour les avants.
Par ailleurs, plusieurs noms reviennent avec insistance du côté du Michelin. En effet, Aurélien Rougerie ou Benjamin Kayser pourrait obtenir de nouvelles fonctions à l’ASM.
Pour l’heure, rien n’est acté mais tout pourrait rapidement se débloquer. Affaire à suivre…