Ce-dernier est bien évidemment revenu sur son transfert vers le Racing 92 avant même la fin de la saison.
Il indique dans un premier temps qu’il avait déjà failli signer au Racing 92 en 2018, lors de son départ de Toulouse. Extrait:
“J’étais à deux doigts de venir ici déjà en 2018. Je discutais beaucoup avec Laurent Labit et Yannick Nyanga. J’étais très heureux de passer par le Stade Français, j’y ai appris beaucoup de choses. C’est un club qui m’a donné l’opportunité de progresser. Mais il fallait tourner la page et je suis très heureux d’être ici aujourd’hui.”
Dans la foulée, il indique qu’il n’aurait pas quitter le Stade-Français pour aller ailleurs qu’au Racing 92. Il explique pourquoi. Extrait:
“Non, je n’aurais pas pu aller ailleurs. C’était ma condition. J’ai deux très bons amis qui y sont et je connais aussi très bien Yannick Nyanga, qui est également un ami. Le fait de pouvoir jouer avec Viri Vakatawa, Teddy Thomas, Finn Russell, Simon Zebo, Kurtley Beale, etc…, c’est un réel plaisir. C’est un club qui a énormément d’ambition. Je ne pensais pas que ça se ferait aussi rapidement. On s’est mis d’accord. C’est pour ça que, comme je disais, ce qu’a dit le docteur Wild m’a déplu, car il était d’accord. C’est un peu bizarre de dire ça. Au final, tout le monde est content et ça se passe bien.”
Pour conclure, Gaël Fickou précise qu’il aurait très bien pu refuser de partir du Stade-Français. Mais il ne se sentait plus le bienvenu à Paris. Extrait:
“J’aurais pu refuser. Mais venir tous les jours dans un club où on te dit à la base qu’on veut te libérer parce que tu coûtes beaucoup trop cher, etc… Le rugby, c’est déjà mental. Tu n’as plus forcément envie de rester dans ces conditions. Ça aurait difficile de s’entrainer ou de faire des séances de musculation tous les jours avec un staff et des dirigeants qui voulaient me libérer.”