Le saviez-vous ?
Le LOU Rugby est arrivé à Marseille dès mardi afin de préparer sa finale de Challenge Cup contre le Rugby Club Toulonnais, programmée ce vendredi soir au Stade Vélodrome de Marseille.
Interrogé via Var-matin, le manager Lyonnais Pierre Mignoni s’est expliqué de cette arrivée très avancée. Extrait:
“C’est une semaine avec un jour férié, donc on a eu peur qu’il y ait un peu de trafic.”
Pierre Mignoni a surtout voulu profiter de cette finale pour resserrer son équipe et favoriser les chances de son groupe de remporter enfin un trophée.
Car il le sait : un trophée validerait tout le travail effectué depuis des années. Extrait:
« Une victoire validerait beaucoup de travail depuis toutes ces années. Un titre, c’est important dans la construction d’un club. Ce serait top pour l’avenir et ça permettrait à ces joueurs de prendre confiance en leur potentiel. On est capable de faire des choses incroyables… »
En contact étroit avec Franck Azéma pour préparer la saison prochaine avec Toulon, Pierre Mignoni a cependant ralenti ses échanges avec l’actuel manager Toulonnais cette semaine. Extrait:
« Avec Franck, on s’appelle régulièrement, et on ne s’en cache pas. C’est la vérité et c’est le futur, mais ce n’est pas le présent On s’est moins appelé cette semaine, pas parce qu’il y a la finale mais simplement par respect. Puis ce n’est pas le sujet. Ce qui est important, c’est maintenant. On est dans l’action tous les deux, II fera tout pour faire gagner Toulon, et moi pour faire gagner Lyon. »
Concernant le sportif, le manager Lyonnais est conscient que son équipe a souffert, cette saison, contre Toulon, avec deux défaites en Top 14. Extrait:
« La dernière confrontation n’était pas du tout à notre avantage. Je l’avais dit il y a un mois et demi : on ne s’était pas trop reconnu. Mais c’est du passé. Ce match nous a fait mal mais nous a aussi fait du bien pour la suite. C’est peut-être grâce à ce dernier qu’on est là aujourd’hui, je ne sais pas… En tout cas, on n’en tire pas plus de leçon que ça. Si ce n’est que ce n’était pas nous et que les accidents, ça arrive. »