Le saviez-vous ? Il n’existe pas qu’un seul Antoine Dupont jouant au rugby en France.
Cette semaine, le site Actu Rugby est allé à la rencontre de l’homonyme d’Antoine Dupont, un ailier – arrière de 28 ans évoluant à Rieumes, un club de Fédérale 2.
Lors d’un entretien accordé à Actu Rugby, ce-dernier indique avoir déjà joué contre le meilleur joueur du monde. C’était à l’UNSS. Extrait:
« À cette période, j’ai joué contre lui en rugby UNSS. Je portais les couleurs du lycée Le Garros et lui celle du lycée agricole Beaulieu, avec son ami d’enfance Anthony Jelonch. Il était déjà très impressionnant techniquement. »
Aussi, l’ailier ou arrière de 28 ans raconte une drôle d’anecdote.
Un jour, celui-ci a été contacté par un agent Français œuvrant notamment pour le Rugby Club Toulonnais.
Cet agent souhaitait bien évidemment contacter Antoine Dupont, le demi-de-mêlée et non pas Antoine Dupont ailier – arrière. Extrait:
“Je n’ai jamais reçu un document administratif qui lui était destiné. Par contre, j’ai eu des contacts avec des agents de joueurs, dont un originaire de Toulon qui gérait la carrière de Mamuka Gorgodze, mais aussi de responsables de gestion de patrimoine immobilier qui s’étaient trompés d’Antoine Dupont. Ils m’avaient contacté sur Facebook et j’ai même été invité à un repas à Castres, lorsqu’Antoine Dupont évoluait encore au CO. J’ai dit à ce mec qu’il allait être déçu quand il allait me voir et surtout déçu de mon patrimoine… (rires).”
Pour rappel, le Rugby Club Toulonnais avait songé à recruter Antoine Dupont. C’était en 2018, lors de l’arrivée de Fabien Galthié à Toulon.
Antoine Dupont évoluait alors au Castres Olympique. Mais aucun accord n’avait été trouvé. Et pour cause, Antoine Dupont rêvait de jouer pour le Stade-Toulousain.
Dans les colonnes du Midi Olympique, l’homonyme du meilleur joueur du monde expliquait récemment que ses coéquipiers l’appelaient l’Antoine Dupont de Wish. Extrait:
« Quand j’arrive, mes partenaires me surnomment et me présentent comme le « Antoine Dupont de Wish ». Ça les fait beaucoup rire, mais c’est de bonne guerre »