Ce samedi après-midi, Clermont s’est largement imposé à domicile contre le LOU Rugby sur le score de 43 à 20.
Les locaux ont largement dominé les débats.
Surtout, un joueur a excellé sur la pelouse du Michelin : l’ailier international Français Alivereti Raka.
Auteur d’une prestation XXL, le Clermontois a inscrit trois essais contre le LOU.
Le site Rugbyrama ne manque pas de le faire apparaître dans ses TOPS :
– Alivereti Raka
– Yohan Beheregaray
– Arno Botha
Voici ce qui est dit sur Alivereti Raka :
« Dans la lancée de son étourdissant début de saison, le puissant ailier de l’ASM fut une nouvelle fois un des détonateurs de son équipe, auteur d’un superbe triplé, qui aurait même pu se transformer en quadruplé si l’arbitrage vidéo ne s’’en était pas mêlée (lire ci-dessous)… Cela au terme d’actions qu’il a eu le mérite de conclure, mais surtout d’initier, puisque c’est bien sa percée qui créa le déséquilibre à la 24e, avant de provoquer l’erreur fatale de son vis-à-vis à la réception d’un coup d’envoi de Plisson (37e). Une lutte aérienne qui fut l’objet d’un long arbitrage vidéo au sujet d’un éventuel en-avant, au terme duquel Tual Trainini ne décela rien de “clair et évident”. Hormis celle-ci : après plusieurs saisons d’errance, Alivereti Raka a enfin retrouvé son meilleur niveau, et c’est toute l’ASM qui s’en frotte les mains. »
Du côté des FLOPS en revanche, on retrouve un autre international Français : Noa Nakaitaci.
Le joueur Lyonnais n’a pas du tout réussi à entrer dans son match.
Voici les FLOPS :
– Noa Nakaitaci
– Ethan Dumortier
– Les commotions Clermontoises
Voici ce qui est dit sur Noa Nakaitaci :
«C’est peu dire que le retour à la compétition de Noa Nakaitaci, qui plus est au Michelin, ne s’est pas déroulé comme espéré. Déjà très emprunté lors de sa dernière sortie face à La Rochelle, l’international tricolore a confirmé qu’il traversait une énorme période de doute. Hésitant en diable sous tous les jeux au pied de Jules Plisson, auteur d’une initiative cauchemardesque sur une contre-attaque dans ses 22 mètres (à l’origine du premier essai clermontois), Nakaitaci a traversé ses 47 minutes passées sur le terrain dans une énorme difficulté, même si l’on peut mettre à son crédit un deux contre un en bout de ligne bien négocié pour l’essai de Couilloud. Ce qui demeure le strict minimum pour un joueur de son envergure, qui symbolise peut-être mieux que personne la mauvaise passe du Lou… »