L’ailier Sud-Africain Madosh Tambwe a débarqué à l’Union Bordeaux-Bègles cet été.
Auteur d’un début de saison impressionnant, il s’est très rapidement intégré au jeu pratiqué en Top 14.
Interrogé via Midi Olympique, ce-dernier explique se sentir de mieux en mieux au sein de l’UBB. Extrait:
“Déjà, je tiens à remercier le staff médical de l’Union Bordeaux-Bègles qui a fait avec moi un boulot remarquable, afin de me permettre de reprendre la compétition aussi rapidement. Et puis, je me sens de mieux dans cette équipe : je commence à trouver des repères, de bonnes connexions avec mes nouveaux coéquipiers. C’est une bonne chose.
Je suis désormais à 100 % et attend avec impatience la suite du championnat. Parce que je veux jouer tous les matchs. Ceci dit, mon corps a peut-être eu besoin d’une pause et me l’a fait comprendre avec ce léger pépin physique : avant de me blesser à Montpellier, j’avais en effet enchaîné deux ans de rugby non-stop.”
Il évoque dans la foulée un championnat très physique. Extrait:
“Que tu joues en France ou en Afrique du Sud, le rugby reste le même. Le truc, c’est d’étudier les systèmes défensifs en amont des rencontres et comprendre où peuvent se situer les failles. Une fois ce travail réalisé, j’ai confiance en ma vitesse et je sais que des opportunités se présenteront, tôt ou tard.
Ce championnat est incroyablement physique ! Le tempo des matchs, lui, est le même qu’en Super Rugby ou en Rainbow Cup : ce que j’ai connu contre Toulouse, Montpellier ou le Racing est très similaire à ce que j’ai connu face au Leinster en Ligue celte ou les Crusaders en Super Rugby. Mais le Top 14 est vraiment plus rude physiquement.”