Certains le soupçonnent de vouloir revendre ces billets plus cher et faire donc du bénéficie sur le dos de la Fédération Française de Rugby.
Nombreux ne comprennent pas pourquoi Sébastien Chabal – bien qu’ambassadeur de France 2023 – ait pu bénéficier d’un tel privilège quand de nombreux amateurs de rugby sont restés sur la touche au moment d’acheter des billets de stade pour la Coupe du monde.
Dans un édito publié sur Midi Olympique, le journaliste Marc Duzan ne manque pas d’atomiser Sébastien Chabal.
A lire ci-dessous :
“Ce n’est pas le braquage du siècle, on en convient. Et cette transgression ne fait du barbu ni Bernard Madoff, ni Jérôme Kerviel, quand bien même il appartiendra à la justice d’en juger ces prochains mois. Mais ceci étant posé, le rugby français méritait-il vraiment la morgue avec laquelle Chabal répondit-il alors aux accusations ? Et quel moule à gaufres de son entourage lui a donc assuré le week-end dernier que cette façon de se défendre était à n’en pas douter la meilleure ? Samedi après midi, peu avant de se justifier plus longuement sur le plateau du Canal Rugby Club, l’Enfoiré jugea ainsi bon d’ironiser sur sa situation sur les réseaux sociaux, publiant ce message d’une classe infinie : « Vends places de matchs pour la coupe du monde de rugby pas très chères. Contactez-moi en DM (messagerie privée) ».
Sérieusement, monsieur Chabal ? Mais pour qui vous prenez-vous, nom de Dieu ? Et le totem de bénévolat que vous brandissez à l’envi vous autorise-t-il à vous foutre ouvertement du rugby d’en bas, de tous ces bougres qui sacrifient leur week-end pour apprendre le rugby à nos mômes, de ces gonzes à qui l’on n’a jamais offert autre chose qu’une bourrade amicale ou une coupe en toc et qui, pour la plupart, regarderont la Coupe du monde depuis le club house du village ? Je ne suis ni procureur, ni bénévole. Dans une certaine mesure, je vis même comme vous sur le dos de la bête. Mais la prochaine fois que vous évoquerez face caméras le management de Patrice Collazo ou votre ressentiment à l’égard de Pierre Berbizier, permettez-moi de considérer votre propos au mieux comme inaudible, au pire comme malaisant…
Quelle époque merveilleuse est-on en train de vivre, bonne mère… Et comme tous ces gens-là me foutent la nausée…”
Bonjour, Monsieur le journaliste :
1) vous n’êtes pas procureur ( a la base,je crois, que les journalistes ont moins de pouvoir que les procureurs, à vérifier ) donc attendez que la justice rende son jugement.
2) vous que ces gens là vous foutent la nausée , allez enquêter sur le FMI , sur nos hommes politiques et même vos collègues journalistes.
Cordialement.