Invité des Grandes Gueules de RMC, Christophe Urios est revenu sur la fin de son aventure l’UBB et sur son rebord rapide du côté de Clermont.
S’il avait toujours été en position de force lors de ses différentes expériences d’entraîneur, il a pour la première fois été débarqué, qui plus est en cours de saison. Et ce fut douloureux : “Je l’ai forcément vécu comme un échec. Quand on te confie une mission et que tu ne vas pas au bout, il y a une part de responsabilité, a-t-il confié. Je l’ai vécu comme un échec même si l’échec permet de progresser, rebondir et évoluer. […] Évidemment, il y avait des entraîneurs qui se faisaient débarquer mais ce n’était pas monnaie courante. C’est une évolution de notre métier qu’il faut prendre en compte. C’est un métier passionnant mais tu sais que tu n’as pas toutes les cartes en main et qu’il faut s’adapter souvent et puis parfois tu arrives au clash parce que ce n’est pas possible de continuer car tu n’arrives pas à garder ni le lien, ni l’énergie.”