Le président du SU Agen (Pro D2), Jean-François Fonteneau s’est confié dans les colonnes de La Dépêche.
Ce-dernier a notamment expliqué à quel point, être président d’un club de rugby, pouvait être compliqué.
Il l’affirme : toutes ses blessures ne se sont pas encore refermées. Extrait:
« Moralement, physiquement, j’ai eu quelques blessures qui ne sont pas toutes refermées. Tu te demandes parfois ce que tu fais là. Un club, c’est une affaire de passion. C’est aussi une boîte à gifles. Il faut l’accepter. Je suis toujours là.
Quand un club est porté par un homme, les gens ont l’impression d’investir pour l’homme à la tête. C’est délicat. Aucun homme ne fait l’unanimité. »