Arrivé il y a près d’un an à la tête de Clermont pour remplacer Jono Gibbes, le technicien Français Christophe Urios n’a toujours pas réussi à faire mieux que l’entraineur Néo-Zélandais.
Comme le confirme ce lundi La Montagne, l’arrivée de Christophe Urios n’a pas encore eu les effets escomptés.
Lors de l’année 2022, sous l’ère Jono Gibbes, Clermont comptait 15 victoires, 17 défaites et un match nul.
Un bilan comptable donc négatif.
En 2023, sous l’ère Christophe Urios donc, le bilan sera également négatif, qu’importe le résultat du match contre Bordeaux-Bègles programmé vendredi soir.
En effet, l’ASM reste sur 13 victoires et 16 défaites lors de l’année 2023.
Si les hommes ont changé et que l’organigramme a totalement été bouleversé, en revanche, les résultats restent toujours décevants pour le club Auvergnat qui est habitué au haut du tableau du Top 14 depuis une vingtaine d’années.
Christophe Urios est conscient que les choses n’avancent pas assez vite. Il aimerait constater davantage d’améliorations, mais ce n’est pas le cas. Extrait:
“Si la situation affecte mon esprit de combativité ? Pas du tout, au contraire. Je me trouve très, très patient parce que les réponses que j’ai en face de moi ne sont pas celles que j’attends. Par contre, comme les joueurs et le staff, je suis dans le compromis. Et ça, ça me gonfle.”
La situation serait donc délicate à Clermont, où tous les problèmes ne sont pas encore réglés.