Ce mercredi, le président du Stade-Toulousain, Didier Lacroix s’est exprimé à l’antenne de ViaOccitanie pour évoquer la finale de Top 14 à venir contre Bordeaux-Bègles, vendredi soir au Stade Vélodrome de Marseille.
Ce-dernier se réjoui bien évidemment d’aborder cette finale, la deuxième de la saison pour Toulouse.
Il évoque du bonheur. Extrait:
“C’est toujours aussi gratifiant, toujours autant de bonheur, d’accéder à ce match phare qui est le dernier match de la saison en plus. Parce que c’est toujours particulier avec la finale de Top 14. C’est toujours autant de complexité, de préparatifs…”
Selon lui, le doublé ne rajoute en aucun cas une pression supplémentaire pour son groupe, bien au contraire. Extrait:
“Il ne constitue pas une pression supplémentaire. Il constitue un appétit. On est dans une génération qui a soif d’inédit, de record(s).”
Il explique se méfier énormément de cette équipe Bordelaise qui possède de nombreux joueurs en équipe de France. Extrait:
“Sur un match, il y a une incertitude, il y a des joueurs de l’équipe bordelaise qui sont en équipe de France, qui jouent même devant certains de nos joueurs. Ils ont la capacité à marquer depuis tous les secteurs du terrain.”
Il a terminé par une pointe d’histoire. Extrait:
“Des Stade-Bègles, il y en a eu deux : en 1969 et 1991. […] Si on peut venger Pierre Villepreux (joueur en 69, entraîneur en 91) et une partie de ma génération qui a joué contre la tortue béglaise, on va essayer de les venger aussi à travers ce match-là, même s’il est inédit.”