Ce samedi, le Biarritz Olympique affrontait l’US Dax à l’occasion d’un match amical de présaison.
Et les Biarrot ont écrasé leur adversaire du jour sur le score sans appel de 33 à 5.
Le nouvel entraineur du BO, Boris Bouhraoua a exprimé sa satisfaction via Midi Olympique. Extrait:
Oui, il y a plusieurs points de satisfaction. Dès le 3 juillet, nous avons dit que dès qu’on mettra les pieds sur un terrain, ce sera pour jouer la victoire. Nous voulons être compétiteurs toute l’année. Le premier motif de satisfaction, c’est la victoire. Pour les amicaux, normalement, ça ne compte pas, mais pour nous, ça compte. Nous sommes à l’avènement d’un projet, c’est toujours mieux de démarrer comme ça.
Avant de parler de rugby, la seconde satisfaction, c’est la combativité des joueurs. On fait un point d’honneur à avoir des joueurs combatifs toute l’année. On veut avoir le même visage de la 1re à la 85e minute. Il y aura des rebonds pendant la saison, des moments de chaos non maîtrisable, mais le combat, on va essayer de le maîtriser toute l’année.
Il est fier de la défense de son équipe. Extrait:
La marque de fabrique, cette saison, ce sera la défense. Je suis un coach très offensif, mais il faut être assez pragmatique. Le rugby, c’est la défense en priorité. On veut commencer le championnat de Pro D2 avec une grosse défense, une conquête stable et une utilisation du jeu au pied cohérente.
J’ai bien aimé l’aspect physique, j’ai aimé l’attitude des joueurs, qui ont joué 40 minutes maximum. Je suis satisfait de ça. Sur le rugby, en tant que coach, on a toujours l’impression d’être en retard, mais on a voulu maîtriser les choses simples.
Je suis très satisfait de ce que nous avons fait. On leur a rendu la tâche difficile grâce à notre défense. Ils nous ont aussi donné du travail, car on ne doit jamais prendre ce dernier essai. Il va falloir progresser sur la discipline. C’est un point qu’on va aborder à partir de maintenant, car nous n’avons pas été bons là-dessus. Nous avons manqué de rigueur et de constance. Sur cette dernière action, il y a deux fautes qui amènent la pénaltouche.