Ce dimanche à 18h, le Stade Rochelais se déplacera sur la pelouse d’Aimé Giral pour affronter l’USAP dans le cadre de la 13ème journée de Top 14.
Le Rochelais Joel Sclavi s’est confié en conférence de presse à l’approche de ce déplacement.
Le pilier international argentin, n°3 des Pumas, évoque la relation qu’il entretient avec ses compatriotes du Top 14. Extrait :
J’ai passé le réveillon à Bayonne, avec les Argentins qui jouent là-bas, avec Guido Petti qui joue à Bordeaux et Calles qui joue à Pau. On était nombreux. C’est la famille. A Perpignan il y en a trois et, là, ça va être la guerre ! (rires)
Pour lui jouer à Aimé-Giral est très compliqué même si l’USAP 12ème semble être sous pression. Extrait :
C’est un stade compliqué parce qu’il y a beaucoup de supporters. Le dernier match qu’on y a joué, la saison dernière, c’était compliqué. Dès qu’ils font de bonnes actions, ça leur donne beaucoup d’énergie. Il faut y aller pour arrêter ça. On est sixièmes alors qu’on avait bien débuté le championnat. Nous aussi, on a la pression. Pas la pression, mais on veut faire un bon match à l’extérieur. Parce que sinon, les deux premiers s’envoleront au classement et, nous, on sera loin.
Le pilier aborde ensuite les difficultés du club à l’extérieur et explique faire le maximum pour s’améliorer. Extrait :
On essaie à l’entraînement de travailler plus, de mettre plus de pression. Aujourd’hui (vendredi), c’était comme une compétition. Il y avait des plaquages, on a fait des séquences longues, c’était un bon entraînement. On va essayer, dimanche, de faire la même chose. On parle tout le temps du fait de jouer quatre-vingt minutes. Aujourd’hui, soit on donne la première mi-temps, et on revient en deuxième mi-temps. Soit c’est l’inverse, comme contre Clermont. Si on arrive à changer ça, on sera meilleurs.