L’ailier international Français Louis Bielle-Biarrey s’est longuement confié via Midi Olympique.
Ce-dernier est notamment revenu sur la finale perdue par l’UBB contre Toulouse, la saison dernière.
Il se rappelle très moyennement de cette très lourde défaite concédée contre le club de la Ville Rose.
En effet, il indique avoir été victime d’un KO très tôt dans le match, ce qui lui a fait perdre les souvenirs.
A lire ci-dessous :
“Lors de la finale, j’ai pris un K.-O. très tôt dans la rencontre. Je suis sorti après, donc je n’ai pas vraiment de souvenirs de ce match. Tant mieux, d’ailleurs, je pense ! (rires) C’est vrai que quand on regarde en arrière, qu’on voit ce score, on peut se dire qu’on va avoir du mal. Pourtant, quand on a repris la préparation, je n’ai pas senti que les mecs étaient traumatisés par quoi que ce soit. Tout le monde avait fait le deuil dans son coin. C’était la première année du projet avec Yannick Bru et tout le staff. C’était comme ça.
De toute façon, on n’allait rien pouvoir y faire. Ça a été très motivant et très stimulant pour tout le monde, avec une nouvelle année devant nous pour potentiellement combler cet écart. Franchement, on a un super effectif. Tout le monde se tire vers le haut. Il y a une concurrence saine, avec de supers joueurs. Tout ça a fait qu’on a pu se relever. Là, on a réalisé un bon début de saison. On a fait une bonne première partie du championnat. On sait que le plus dur va arriver maintenant.”
Dans la foulée, il fait un point sur la situation comptable de l’UBB, cette saison. Extrait:
“Comptablement, c’est sûr qu’on a un petit peu d’avance avec Toulouse. Après, quand on regarde le jeu, nous ne sommes pas non plus flamboyants, surtout sur ces matchs d’hiver. Nous savons que nous devons améliorer notre jeu car nous sommes encore perfectibles dans de nombreux domaines. Ça va être une deuxième partie du championnat qui va être très intéressante. Je vais retenir l’état d’esprit et la cohésion affichés sur cette première partie du championnat. C’est presque le plus important.”
