Le Tournoi des Six Nations, qui se déroule du 31 janvier au 15 mars, ne se contente pas d’offrir un prestige sportif aux équipes engagées.
Une dotation financière conséquente est également en jeu, avec une prime encore plus alléchante en cas de Grand Chelem.
Au delà de l’aspect sportif, la France pour le bien des finances de la FFR a tout intérêt à gagner.
Si la motivation des joueurs repose avant tout sur la quête de la victoire, l’incitation financière reste un facteur non négligeable.
Chaque équipe reçoit une part du prize money, mais le vainqueur rafle la mise.
Selon le média Ruck, l’édition 2025 voit une augmentation des dotations par rapport à l’année précédente.
Le champion empochera ainsi 6,5 millions de livres (7,73 millions d’euros), auxquels s’ajoute un bonus d’un million de livres (1,19 million d’euros) en cas de Grand Chelem, soit cinq victoires en autant de matchs.
Comme en 2024, le deuxième du classement percevra 3,5 millions de livres (4,16 millions d’euros), tandis que les autres équipes recevront un prize money dégressif.
À noter que si aucune nation ne parvient à remporter tous ses matchs, le bonus du Grand Chelem sera réparti entre les six équipes.
Le XV de France, sacré en 2022 grâce à un Grand Chelem, cherchera à reconquérir le trophée après deux deuxièmes places consécutives en 2023 et 2024 derrière l’Irlande.
Une motivation supplémentaire pour Antoine Dupont et ses coéquipiers, qui espèrent briller sur la scène européenne et décrocher la plus belle récompense du Tournoi.
Les primes versées lors du Tournoi des Six Nations 2024 selon le classement :
1 – 6,5 millions de livres (7,73 millions d’euros) + un bonus d’1 million de livres (1,19 million d’euros) en cas de Grand Chelem
2 – 3,5 millions de livres (4,16 millions d’euros)
3 – 2,5 millions de livres (2,97 millions d’euros)
4 – 2 millions de livres (2,37 millions d’euros)
5 – 1,5 million de livres (1,78 million d’euros)
6 – 1 million de livres (1,19 million d’euros)