Ce samedi après-midi, Toulouse a corrigé Vannes (63-21).
Alexandre Roumat, est revenu sur la bonne dynamique de son club pendant la période des doublons et il se projette désormais sur la fin du Tournoi.
Il se dit tellement heureux de la situation du club et des résultats pendant les doublons. Extrait :
Pour ceux qui ont eu la chance d’aller en équipe de France, nous étions troisièmes lors de notre départ et aujourd’hui, nous sommes premiers avec un petit peu d’avance sur nos concurrents. Donc c’est encore une fois une période qui a été charnière. Les mecs qui ont été là pendant ces trois, quatre semaines ont été juste incroyables sur le contenu des matchs, par la qualité du jeu. En sélection, quand on a regardé les matchs, on s’est autant régalé que les supporters. Quand on gagne et qu’en plus de ça, on produit un rugby qui, je pense, fait plaisir à regarder, c’est encore mieux.
Alexandre Roumat confesse qu’il était déterminé lorsqu’il a rejoint le groupe. Extrait :
Pour ma part, cette semaine, je suis arrivé dans un groupe avec une énergie folle. Les gars avaient fait deux matchs consécutifs, une victoire extérieure et un très bon match contre Bayonne. Donc, on ressent beaucoup de bonne humeur, beaucoup de confiance. En plus, on a eu la chance qu’il fasse beau cette semaine. On va dire que toutes les conditions étaient réunies. Revenir dans un groupe comme ça, sur une très bonne dynamique, ça se résume à suivre les copains et prendre du plaisir.
Il l’avoue, la concurrence est rude à Toulouse il ne faut pas se reposer malgré le statut d’international. Extrait :
Par définition dans ce club, la concurrence est rude à tous les postes. J’ai l’impression que c’est encore plus juste ces dernières semaines puisque l’équipe tourne peut-être encore mieux que juste avant la période internationale. Les mecs commencent à prendre des places, commencent à faire des grosses performances. C’est aussi ça qui, je pense, nous fait avancer dans notre groupe. Quand les internationaux reviennent, ils n’ont pas le loisir de se reposer. On sait que si on ne met pas l’intensité, le niveau, la performance nécessaire, le train va passer. C’est aussi ça qui nous permet d’être là où on est actuellement et de ne lâcher aucun match.
Malgré la difficulté d’enchaîner les rencontres avec un maillot différent, il se projette complètement sur la fin du Tournoi. Extrait :
C’est vrai que dans ces périodes, le jonglage entre le club et l’équipe de France, on pense un peu à tout en même temps. Même s’il faut quand même essayer d’être assez carré quand un rendez-vous se présente. Pour ma part, je n’ai jamais joué l’Irlande. Nous n’avons rien à perdre. Au contraire, on a tout à gagner en essayant de faire une performance là-bas. J’espère sincèrement qu’on rivalisera et on espère un résultat positif.